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15 mai 2018

Alain Jakubowicz: "Les violences faites aux femmes sont un sujet trop grave pour être confié aux féministes"

AlainJakubowicz-AntiFéministe

La LICRA, organisation soi-disant antiraciste (mais qui combat surtout les associations militantes notamment de lutte contre le racisme institutionnel, la négrophobie et l'islamophobie comme le CCIF, les Indivisibles ou le MWASI Collectif), n'a eu que des hommes comme présidents depuis sa création en 1928 (il y a 90 ans).

Parmi eux, un antiféministe revendiqué nommé Alain Jakubowicz, auteur de cette affirmation:

"Les violences faites aux femmes sont un sujet trop grave pour être confié aux féministes"

(j'ai corrigé les fautes d'orthographe).

Il s'indigne également contre le mot "féminicide", mot qui décrit pourtant une réalité.

 

Source: https://twitter.com/JakubowiczA/status/958795788229988353

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Commentaires
L
en fait Jakubowicz fait "d'une paire, deux couilles" avec son twitt... D'une part il soigne sa popularité auprès de son fan-club droitier habituel, en contestant la notion de féminicide (on voit mal quel autre mot employer toutefois). Mais EN MEME TEMPS il parle de ces violences comme d'un sujet si grave, dont acte, qu'il se refuse à le confier aux féministes : bref, sauf erreur de ma part, il est tout simplement en train de venir au secours des macroniens, déçus que ces dames n'aient guère mordu à l'hameçon du féminisme selon Schiappa, et sans même les nommer tente de les présenter comme leurs seuls VRAIS défenseurs !
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L
Eh bien moi je dis : que l'antisémitisme est un sujet trop grave pour être confié à la LICRA. Et que c'est avec la sicilienne protection de la LICRA (ainsi que de la Ligue des Droits de l'homme) : qu'un fonctionnaire Culture a pu en 1999 être révoqué dans des conditions de provocation antisémite et de non-Droit qui n'eussent pas même été concevables sous le régime de Vichy. Ce qui était (de fait) reproché à l'intéressé était sa curiosité dans une situation où un des nazillons qui en avril 1995 à Courbevoie, porteurs de faux uniformes de policier, avaient agressé une femme algérienne enceinte à Courbevoie, et qui s'était avéré être un employé de la BNF, avait dès le lendemain (!) et avec la complicité de la hiérarchie-maison repris son poste comme si de rien n'était.<br /> <br /> Les optimistes en retirendront que la LICRA a le sens de la solidarité, à sa manière... En effet cette révocation a été obtenue par le biais d'un conseil de discipline tenu le 19 novembre 1998 sans que l'intéressé n'ait eu accès au dossier et ce alors que la personne qui menait ici la danse, à la Culture, n'était autre que la nommée Agnès Saal (la vérité si je mens), bien connue des chauffeurs de taxi et qui lorsqu'en 2015 elle a été prise la main dans le sac n'a pas hésité à faire savoir jusque sur wikipedia qu'elle était "d'origine juive-sépharade", oui-ma-chère.<br /> <br /> Bref, et pour le dire autrement : la LICRA a les mains Saal.
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