La LICRA, organisation soi-disant antiraciste (mais qui combat surtout les associations militantes notamment de lutte contre le racisme institutionnel, la négrophobie et l'islamophobie comme le CCIF, les Indivisibles ou le MWASI Collectif), n'a eu que des hommes comme présidents depuis sa création en 1928 (il y a 90 ans).
Parmi eux, un antiféministe revendiqué nommé Alain Jakubowicz, auteur de cette affirmation:
"Les violences faites aux femmes sont un sujet trop grave pour être confié aux féministes"
(j'ai corrigé les fautes d'orthographe).
Il s'indigne également contre le mot "féminicide", mot qui décrit pourtant une réalité.
Source: https://twitter.com/JakubowiczA/status/958795788229988353
Les optimistes en retirendront que la LICRA a le sens de la solidarité, à sa manière... En effet cette révocation a été obtenue par le biais d'un conseil de discipline tenu le 19 novembre 1998 sans que l'intéressé n'ait eu accès au dossier et ce alors que la personne qui menait ici la danse, à la Culture, n'était autre que la nommée Agnès Saal (la vérité si je mens), bien connue des chauffeurs de taxi et qui lorsqu'en 2015 elle a été prise la main dans le sac n'a pas hésité à faire savoir jusque sur wikipedia qu'elle était "d'origine juive-sépharade", oui-ma-chère.
Bref, et pour le dire autrement : la LICRA a les mains Saal.