Le Conseil Fédéral de la LICRA en réunion... pas vraiment à l'image de la diversité de la France, surtout pour une association prétendument "antiraciste"
Le président de la LICRA Alain Jakubowicz vient de publier une tribune dans Libération où il s'en prend avec vigueur aux "nouveaux antiracistes" présentés dans un dossier publié le 4 avril dans le même journal. Pour être clair, il vise sans les nommer Fania Noël (militante afro-féministe au sein du Mwasi Collectif), Sihame Assbague (Stop le Contrôle au Faciès), Fateh Kimouche (Al Kanz) et les militants proches du CCIF ou de la lutte contre la négrophobie.
La LICRA est la digne représentante de l'antiracisme officiel, approuvé par Manuel "je-veux-plus-de-blancos" Valls et subventionné par l'état, qui a largement montré son inefficacité (explosion des actes racistes ces dernières années). Jakubowicz nie le racisme d'état, il dénonce ceux qui critiquent (je le cite) "un prétendu «racisme d’Etat» qui sévirait en France"...
Jakubowicz amalgame les trois personnes citées plus haut à des propos tenus par le PIR (Parti des Indigènes de la République), alors qu'à ma connaissance aucun des trois n'est membre du PIR, plus il conclut: "ces gens-là ne sont rien d’autre que des racistes et des antisémites."
Sans surprise, l'article de Jakubowicz a été partagé et loué par le DILCRA Gilles Clavreul et Caroline Fourest, tous deux proches du Premier Ministre Manuel Valls.
Hier (11 avril), Alain Jakubowicz a également diffusé sur son compte twitter un article infect publié sur Atlantico signé Benoit Rayski, et intitulé "Les visages incontestables du racisme anti-blanc et la xénophobie anti-française". Le contenu du texte est à l'image du titre: ça ressemble à s'y méprendre à du Zemmour ou à du Fdesouche. Pour citer quelques extraits: "à les entendre, n'a qu'un chemin étroit pour mériter une rédemption : se convertir à l'islam ou s'en rapprocher", ou encore "Au-delà de leurs différences d'origine ils ont le même adversaire en commun: la France"...
Bref, Alain Jakubowicz et la LICRA, c'est le refus de parler d'islamophobie (voir les récents propos de la vice-présidente Sabrina Goldman dans l'émission Ce Soir Ou Jamais), la négation du racisme d'état, mais la validation (et l'obsession) du "racisme anti-blanc" et "anti-français"... On est dans ce que certains appellent à juste titre le "FN light", dans la lignée des Valls-Finkielkraut-Clavreul-Fourest-Rossignol-Badinter...
En plus, dans votre délire, vous présentez le CCIF comme une association antiraciste, alors que n'importe qui d'un peu instruit sait qu'il s'agit d'une organisation intégriste et antisémite. Ils ont trouvé en vous des idiots utiles,